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Testbirds
Un des principaux acteurs allemands du crowdtesting
Munich (Allemagne)
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Un des principaux acteurs allemands du crowdtesting
Basée à Munich, la société Testbirds propose à des entreprises de tester leurs sites Internet et applications mobiles afin de repérer et de signaler les éventuels bugs, mais aussi d’évaluer l’expérience utilisateur des internautes / mobinautes (ergonomie, fluidité, etc.).
Pour cela, elle s’appuie sur une communauté de plusieurs dizaines de milliers de « testeurs », un panel suffisamment large pour couvrir tous les types d’appareils et tous les systèmes d’exploitation.
La société a pour principaux objectifs de concrétiser ses ambitions de développement européen et de moderniser sa plateforme.
Dirigeants
Philipp Benkler, CEO & Co-fondateur de Testbirds
Titulaire d'un Master des Universités de Munich et Augsburg, Philipp a réalisé de nombreux stages chez GloxoSmithKline, Siemens, IBM. C'est en 2011 qu'il se lance dans l'entrepreneuriat avec la création de Testbirds.
Georg Hansbauer, Managing director & Co-fondateur de Tesbirds
Titulaire d'un Master des Universités de Munich et Augsburg, Georg a successivement travaillé chez BMW (Zone Amérique du Nord), Volkswagen et Telefonica avant de lancer Testbirds en 2011.
Markus Steinhauser, Co-fondateur de Testbirds
Diplômé de l'Université de Fribourg (Allemagne), Markus met ses compétences marketing et commerciales au service de Testbirds depuis 2011.
Bruno Rivet
Directeur d'investissements
La définition du secteur « Services innovants » par Seventure
L’arrivée des nouvelles technologies dans des économies avancées reposant majoritairement sur les services, a permis de transformer des modèles économiques dans de très nombreux secteurs. C’est tout particulièrement vrai pour Internet, dont l’émergence a permis la création de très nombreuses entreprises innovantes. En 2011, la publication d’une étude par Mc Kinsey & Company avait permis de chiffrer cet impact : le cabinet de conseil estimait que la filière Internet représentait déjà plus de 3% du PIB en 2009, et avait contribué à 25% de la croissance et à 25% des emplois créés en France. L’étude révélait également que les PME s’appuyant le plus sur les technologies Internet avaient une croissance deux fois plus forte que les autres et étaient aussi plus exportatrices. Tout indique que cette tendance va se poursuivre, puisque le secteur devrait représenter plus de 100 milliards d’euros de valeur ajoutée en 2015.
La situation est globalement comparable en Allemagne, qui est légèrement en avance sur la France selon plusieurs comparaisons internationales. L’étude « Global Information Technology Report » publiée en 2010 par le World Economic Forum et permettant de comparer la situation entre les pays de l’OCDE plaçait l’Allemagne et la France en 13ème et 17ème position respectivement en matière de « connectivité Internet », un indicateur synthétique de pénétration, alors qu’en 2012 l’étude du Boston Consulting Group « The Internet Economy in the G20 » considérait qu’Internet représentait 3% du PIB en Allemagne contre 2,9% en France, en 2010. L’écart entre ces deux pays et ceux du Nord de l’Europe (Royaume-Uni, Scandinavie, Pays-Bas), dans lesquelles la part d’Internet dans le PIB est encore plus importante, montre que le potentiel est encore très significatif.