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LAUNCHMETRICS
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Le logiciel Augure permet aux marques d’accroître leur notoriété grâce au pouvoir de recommandation et d’amplification des influenceurs clés de leur secteur. Les professionnels de la communication et du marketing digital, en entreprise ou en agence, utilisent Augure pour identifier les leaders d’opinion qui comptent réellement pour leur audience finale, orchestrer avec succès leurs campagnes et mesurer le niveau de résonance obtenu.
Chaque jour, plus de 60.000 interactions entre marques et influenceurs prennent forme avec Augure, occasionnant la publication de milliers d’articles et posts dans les médias, les blogs et sur les réseaux sociaux.
La société, dont le siège est situé à Paris, équipe aujourd’hui plus de 1.500 entreprises dans toute l’Europe, parmi lesquelles Nestlé, Renault-Nissan ou Publicis (juin 2015).
En janvier 2016, Augure et un concurrent américain, Fashion GPS, ont annoncé la fusion de leurs activités dans une nouvelle société baptisée Launchmetrics.
Dirigeants
Co-fondateur d’Augure, Michael a auparavant travaillé pour Accenture, Thomson Multimedia et fondé la start-up Leonard's Logic vendue avec succès à Hummingbird en 1999. Il est titulaire d'une maîtrise de Sciences Po Paris en Economie et Finance.
Arnaud a co-fondé Augure Espagne en 2005, et est aujourd'hui vice-président marketing du groupe et directeur général d'Augure Espagne. Il a commencé sa carrière avec la start-up Kalumet, et a rejoint la société de consulting Mille Alliance en 2000. Arnaud est titulaire d' un Master de l'ESCP (Paris) et d'un MBA de l'IESE (Madrid).
Carlos a co-fondé Augure Espagne en 2005, et assure aujourd'hui la direction commerciale du groupe sur l'ensemble de ses marchés. Il a débuté sa carrière en tant que Chef d'affaires chez Siemens. Carlos est titulaire d'une maîtrise de l'Université de Complutense de Madrid.
La définition du secteur « Médias et réseaux sociaux » selon Seventure
Si les médias, et les cercles d’individus partageant des intérêts communs, existent depuis bien longtemps, nul doute que le monde des médias et des réseaux sociaux est celui qui a été le secteur économique le plus impacté l’émergence du Web. Les médias traditionnels ont été les premiers à être confrontés à la révolution numérique : Internet a à la fois facilité et démocratisé l’accès à l’information et aux contenus ; accéléré les cycles de diffusion, en ringardisant tout ce qui n’est pas temps réel ; et surtout profondément modifié le modèle économique, en habituant les consommateurs à la gratuité totale. L’arrivée des réseaux sociaux a permis aux utilisateurs de collaborer pour créer, organiser, indexer, modifier et commenter les contenus. Derrière les mastodontes comme Facebook ou Youtube, une multitude d’autres acteurs sont apparus pour donner naissance à une véritable industrie du Web social, dans lequel les utilisateurs sont à la fois les principaux acteurs et contributeurs.
Quel marché pour le secteur des « Médias et réseaux sociaux » ?
Si les médias et les réseaux sociaux sont considérés comme deux parties d’un même écosystème, c’est d’abord en raison des similarités qui existent dans leur modèle de monétisation : un segment de plus en plus étroit de revenus payés par l’utilisateur lui-même, dans le cas de contenus ou de services très premium, et une large base de revenus publicitaires pour financer tous les autres services offerts gratuitement aux consommateurs. Le basculement progressif des investissements publicitaires depuis les supports classiques (télévision, radio, presse notamment) vers Internet est donc le facteur clé de croissance du marché. Avec 25% des dépenses média en France (soit un total de 2,9 milliards d’euros), Internet est encore devancé par la télévision ; mais pour peu de temps encore, comme le montrent nos voisins italiens, allemands et surtout britanniques où la proportion des dépenses Internet est de 26%, 32% et 37%.